En 1996, l’artiste HUGO VAN GOETHEM a été demandé de faire une série de peintures ‘live’ lors d’un concert de musique contemporaine du compositeur allemand Wolfgang Rihm sur les podiums de l’opéra flamand à Anvers et à Gand. Depuis cette expérience, le thème du mouvement a trouvé une place centrale dans l’oeuvre de l’artiste. Le spectacle lui a fait clair qu’il n’est pas simple à représenter visuellement les sons. Hugo Van Goethem connaissait les ‘action painters’ qui ont expérimenté sur le thème ‘musique’ mais eux ils se ont souvent efforcés de représenter un certain état d’âme. Hugo Van Goethem a cherché une autre angle, car du spectacle il a apris qu’on ne peut pas peindre des SONS au moment qu’on les aperçoit. Les sons se sont déjà évanouies avant que le peintre ait bien pris son matériel en main, pendant que les sons suivantes s’annoncent déjà.

Hugo Van Goethem a voulu anticiper le son et il s’est rendu compte que pour saisir les sons il faudrait que l’artiste développe une nouvelle ‘notation musicale’ imagée. Depuis ces sons est évoluée une nouvelle série de tableaux que Hugo Van Goethem réunit sous le titre de PAYSAGES. Dans ces tableaux également, l’artiste veut enregistrer le mouvement. Il détermine dans la peinture ce qu’aperçoivent les yeux si on voyage à travers un paysage. Un troisième développement dans l’ oeuvre de Hugo Van Goethem est la série de tableaux sous le titre BANDES DESSINEES. Ils semblent constituer une déviation ludique, mais l’artiste ne considère pas ces tableaux de cette façon. Pour lui, les personnages expriment aussi un mouvement, c’est à dire rendu visible ce qui se passe entre deux dessins dans une bande dessinée. Enfin ils constituent une sorte de synthèse entre les sons et les paysages.

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